Le signe d’Amon

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Tome 3 de la Trilogie Aurore Boréal – sortie en novembre 2008

Le dernier roman de la trilogie nous entraîne dans une double aventure : remonter dans le passé d’Alex afin de rechercher sa véritable identité et suivre la vie passionnée de Samir, jeune médecin qui, par dépit amoureux, commet une folie lourde de conséquences pour Alex.

Alex, jeune homme de vingt-cinq ans est à la recherche de son passé depuis sa majorité, date à laquelle la Direction Départementale de l’Action Sanitaire et Sociale de Brest lui a communiqué son dossier.

Ce qu’il y a trouvé s’est avéré bien succinct ! Une dame l’a découvert un beau matin de juillet 2005 en train d’errer dans les travées d’une église de Bretagne. Il avait approximativement trois ans. Confié aux services sociaux, il a été placé successivement dans cinq familles d’accueil.

Alex va enquêter sur cette période et tenter de reconstituer les trois premières années de sa vie, celles qui représentent un vrai mystère.

Au cours de cette recherche longue et difficile, il fera des découvertes étonnantes et apparemment bien éloignées des réponses qu’il attend.

Mais si Alex cherche désespérément des éclairages sur son passé, Ombeline, elle, s’interroge sur son avenir. Atteinte d’une maladie génétique dégénérative, son futur lui semble bien compromis.
Ces deux-là étaient pourtant faits pour se rencontrer.
Dès leur première rencontre et malgré le handicap de la jeune fille, Alex tombe sous son charme. Il lui promet de la sauver et de l’épouser.
L’amour qu’il lui porte sera-t-il assez fort pour vaincre une maladie que les spécialistes considèrent comme incurable ?
Ou est-ce la découverte de son passé qui lui permettra de guérir sa promise ?

Automne 1997 : Hôpital de Louxor : Haute-Egypte

Tout avait commencé par un simple coup de téléphone.
– Samir, peux-tu venir dans mon bureau ?
– Le temps de rédiger la fin du compte-rendu sur l’hystérectomie de la princesse
 Al Merzoug et je vous rejoins, patron.
Quelques minutes plus tard, Samir pénétrait dans la pièce exiguë qui abritait le secrétariat de son chef de service, le docteur Mohamed Ben Zatawa.
Celle qui en était l’âme s’appelait Soulef. C’était une femme d’âge mûr dont le dévouement était légendaire.
– Bonjour, comment allez-vous ? lui demanda-t-il.
– Ces dernières semaines ont été éprouvantes, docteur ! Avec l’âge, je commence à avoir du mal à récupérer. Si notre service continue à se développer à ce rythme, il va falloir penser à embaucher une seconde secrétaire.
– Ma chère Soulef, depuis trois ans que nous travaillons ensemble, j’ai appris à connaître vos immenses qualités. Vous alliez les compétences d’une professionnelle avec les attentions d’une mère et les douceurs d’une épouse. Jamais je ne retrouverai une perle qui ait votre éclat… à moins que…
– A moins que quoi ?
– Soulef, accepteriez-vous d’être clonée ?
– Oh ! il n’en est pas question.
– Alors restez l’unique objet de mon désir. Je ne veux avoir affaire qu’à vous.
– Docteur, vos flatteries me vont droit au cœur. Essayez seulement de modérer votre activité et j’essayerai de tenir le coup !
– Je vous promets de faire un effort.
– Bon, il est déjà vingt heures, je vous introduis dans le bureau du chef et je me sauve.
– Merci de votre dévouement, Soulef.
Après avoir frappé deux petits coups sur la porte, elle l’entrebâilla avant d’annoncer :
– C’est le docteur El Hattari.
– Qu’il entre, Soulef.
Mohamed Ben Zatawa approchait la soixantaine. C’était un homme petit et chauve dont le regard et les mains étaient toujours en mouvement. Se levant de son fauteuil, il se dirigea vers Samir pour lui donner l’accolade.
– Viens t’installer face à moi, nous devons parler de ton avenir.
Samir sembla décontenancé.
– Patron, il me semble que nous en avons déjà discuté !
– Oui, j’en conviens, murmura Mohamed Ben Zatawa.
– Alors permettez-moi de vous rappeler quelle a été ma vie jusqu’à ce jour et ce que vous aviez entrevu pour la suite. Il y a trente ans, je suis né dans la banlieue de Louxor au sein d’une famille qui habite cette contrée depuis des temps immémoriaux. Comme j’étais doué pour les études, mes parents qui sont des gens modestes se sont saignés aux quatre veines pour me payer des études. Grâce à leurs sacrifices et à l’aide de tous nos proches, j’ai pu me rendre au Caire pour entreprendre des études de médecine. Sorti major de ma promotion, le prestigieux hôpital El Asam m’a supplié de préparer mon internat au sein d’une de leurs équipes. Contre toute attente, j’ai repoussé la chance unique qui m’était offerte pour rejoindre le modeste hôpital de Louxor, ma région natale. Je voulais me rapprocher des miens et commencer le plus vite possible à les soulager financièrement. J’avais aussi hâte de me rendre utile auprès de ceux qui avaient besoin de soins médicaux. Vous m’avez accueilli dans votre service de gynécologie et vous m’avez traité comme un fils, jamais je ne l’oublierai. Vous m’avez ensuite préparé pour l’internat…
– Que tu as brillamment réussi, poursuivit Mohamed Ben Zatawa. Je t’ai alors offert le poste de chef de clinique.
– Depuis six mois, j’ai tout fait pour mériter la confiance que vous aviez placée en moi, poursuivit Samir. La seule chose que je désire, pour l’avenir, c’est continuer à exercer à vos côtés comme vous me l’avez proposé.
– Samir, chaque jour, tu m’éblouis par l’étendue de tes connaissances, par la précision de ton diagnostic et par la sûreté de ton geste opératoire. Mon modeste service voit affluer chaque semaine des dizaines de personnes qui ont eu vent de tes compétences et veulent ton avis. Ta notoriété s’est étendue à toute la région et l’on commence à m’appeler du Caire pour s’inquiéter de l’ombre que tu fais à tous les mandarins de la capitale. J’en suis terriblement fier et aussi un peu inquiet.
– Comment cela ?
– Ils ont été offensés par ton départ et sont maintenant jaloux de tes succès. Ils n’hésiteront pas à te mettre des bâtons dans les roues pour éviter de perdre leur prestigieuse clientèle. Tu dois t’exiler pour revenir plus fort et leur clouer le bec.
L’inquiétude avait envahi les traits de Samir.
– M’exiler loin de Louxor où j’ai toutes mes attaches ?
– Non seulement loin de Louxor mais aussi hors d’Egypte. Après quelques années passées à l’étranger, tu reviendras auréolé d’un nouveau prestige et tu feras taire les oppositions. Nous construirons alors un grand hôpital qui sera à la mesure de ta nouvelle notoriété. Les têtes couronnées et tous les riches de la planète afflueront pour être suivis par toi. Grâce à cette manne, nous pourrons nous occuper des gens plus modestes et des indigents qui ne peuvent bénéficier des derniers acquis de la médecine. Cette facette de ta vocation te tient à cœur, n‘est-ce pas ?
– Oui, bien sûr. Elle fait partie intégrante de mon engagement au service de la médecine. C’est même ma seule préoccupation.
– Alors tu dois partir.
– Où voulez-vous m’envoyer ?
– Comme Moïse sortant d’Egypte pour gagner la Terre Promise, tu vas franchir la mer pour te rendre en Suisse. L’hôpital Ali Ibn Seoud de Genève recherche d’urgence un chef de clinique en gynécologie pour pallier le décès accidentel du Saoudien qui occupait ce poste. J’ai fait jouer toutes mes relations pour te décrocher ce poste. Il va te propulser au sommet. Pendant cinq ans, tu côtoieras une clientèle travaillant au sein des multiples organisations internationales que compte la capitale helvétique. Toutes les fortunes mondiales et spécialement celles des monarchies du Golfe Persique y possèdent des comptes où transitent des milliards de dollars. Avec ton charisme et tes compétences, je suis persuadé que tu deviendras incontournable. Quand tu rentreras à Louxor, beaucoup te suivront et nous pourrons accomplir le dessein qui nous tient tant à cœur. Construire un magnifique hôpital ouvert à tous.

C’est ainsi qu’il était parti par un beau matin de décembre 1997.
La vie est semée d’embûches et un moment d’égarement peut changer subitement un avenir tout tracé… A Genève, le Destin l’attendait au tournant.

Mais le Destin n’est-il pas la forme supérieure de l’organisation du monde ?
Pour expliquer l’inexplicable, les Anciens s’inventèrent des mythes. Ceux des Grecs et des Romains nous sont les plus familiers et voilà ce qu’ils disent sur le sujet.
Au premier temps de la création, alors que Zeus accédait à l’Olympe, la Nuit engendra le Destin, la Mort et les trois Moires. Popularisées sous la forme de trois vieilles femmes, ces dernières furent assimilées à de sinistres fileuses. Clotho, la première, était celle qui filait les événements de la vie. Lachésis, la seconde, tissait le sort des humains. Atropos, la dernière, avait le redoutable pouvoir de trancher le fil de l’existence.
Leurs décisions étaient irrévocables et ne faisaient qu’accomplir l’inflexible loi du Destin. Même Zeus qui présidait aux destinées humaines n’avait pas de pouvoir sur elles ni d’ailleurs sur ce que l’on qualifie aujourd’hui de fatalité.

Le Destin qui attendait Samir à Genève avait sans doute de bonnes raisons pour bouleverser
sa vie.

Hermine Aubert des Monts d’Albray

Samir fera sa connaissance à Genève. Dans quelles circonstances et pour quels bouleversements ?

Hermine Aubert des Monts d’Albray avait vingt et un ans quand on lui avait fait rencontrer son futur mari. Elle était la cadette d’une famille au passé prestigieux. Son père, le comte Louis d’Albray et sa mère Nadine d’Albray, née d’Estrée avaient des ancêtres qui s’étaient illustrés dans l’histoire de France. La fortune des générations antérieures avait progressivement fondu et de mauvais placements avaient contraint les d’Albray à limiter leur train de vie au strict minimum.
Avant que le seuil critique ne soit atteint, Louis et Nadine avaient décidé de reporter tous leurs espoirs sur Hermine. Elle était l’un des derniers joyaux de la famille.
Sa beauté, sa fraîcheur et sa parfaite éducation devaient lui permettre de trouver un beau parti. Ce gendre tant espéré saurait redorer leur blason.
Leur choix s’était porté sur Hilaire de Fenoil du Lac, Duc de Montricou. De quinze ans l’aîné d’Hermine, il avait embrassé la prestigieuse carrière de diplomate. Fils unique, ses parents étaient morts dans un accident de voiture quelques années auparavant. Il avait alors hérité de la fortune familiale : des terres en Aquitaine et de nombreux immeubles de rapport dans la capitale. Après avoir été en poste dans de nombreuses ambassades, il était revenu à Paris pour occuper une des nombreuses directions du quai d’Orsay. C’est comme cela que l’on désigne le Ministère des Affaires Etrangères. Il avait désormais atteint l’âge de se ranger, de trouver une épouse et de mettre en route sa descendance.
Dans le milieu très fermé de l’aristocratie, malgré l’évolution des mœurs, le mariage arrangé était encore souvent de règle. Désirant ne pas déroger aux usages, il avait demandé à ses tantes de lui trouver l’épouse idéale.
Elles lui avaient soumis la candidature d’Hermine Aubert des Monts d’Albray. Cette jeune femme avait tout pour le séduire, surtout son prénom qui rappelait le carnassier au poil blanc immaculé dont la fourrure symbolisait l’innocence et la pureté morale. Elle ornait à ce titre la robe ou le camail des hauts dignitaires de l’Eglise, de l’Etat ou de l’Université.
Quand il l’avait rencontrée pour la première fois, en présence des parents de cette dernière, son cœur s’était emballé : Hermine était jeune et belle comme l’aurore. En la fréquentant plus assidûment, Hilaire avait apprécié sa culture générale et son aisance en société. A eux deux, ils pourraient faire un couple remarquable. Hilaire de Fenoil du Lac espérait dans les années à venir un poste d’ambassadeur de France à l’étranger. Une épouse pouvant incarner les plus belles valeurs de la République serait un atout déterminant pour sa nomination.
Hilaire avait fait ce qu’il fallait pour séduire la jeune femme. En bon diplomate, il avait pris son temps pour lui faire la cour et l’emmener découvrir son monde. Allant de réceptions en réceptions, elle s’était sentie à l’aise dans ce milieu ouaté. Hilaire s’était conduit en parfait gentleman, ne cherchant pas à abuser d’elle avant que le mariage ne soit envisagé. Hermine était vierge et souhaitait le rester jusqu’à ce que Dieu unisse leur destinée. En se fréquentant de plus en plus assidûment, ils s’étaient découvert beaucoup de points communs, fruits d’une éducation assez similaire.
Hermine terminait une école d’infirmière et ressentait une attirance particulière pour les services de néonatalogie. Elle souhaitait pouvoir finir ses études avant de se marier et envisageait ensuite de travailler au service des enfants.
Cela n’était pas pour déplaire à Hilaire. Autant pour l’engagement humanitaire que cela représentait que pour les compétences que sa future épouse pourrait acquérir pour s’occuper au mieux de leurs enfants. Ils en souhaitaient au moins quatre. On s’était acheminé tout naturellement vers les fiançailles. Hilaire avait puisé dans les bijoux de famille pour éblouir sa future épouse. Hermine qui croyait être détachée des choses matérielles était tombée dans les bras de son fiancé : la bague sertie de diamants et d’émeraudes était tout simplement fabuleuse. Hilaire se sentait pousser des ailes. Rien n’était trop beau pour faire sentir à Hermine tout l’amour qu’il lui portait. Elle était sur un nuage, ayant l’impression de sortir d’une vie un peu étriquée pour respirer une nouvelle liberté.
Hermine gardait néanmoins la tête sur les épaules : Hilaire était un homme charmant et bien élevé qu’elle appréciait mais, contrairement à lui, elle n’était pas réellement amoureuse.
La raison et le désir de ne pas décevoir ses parents l’avaient emporté. Elle avait accepté de lier son destin à celui d’Hilaire.
Il était venu faire sa demande en costume de flanelle grise et gants blancs. Le comte et la comtesse d’Albray avaient déployé tous leurs charmes pour lui faire bon accueil. Connaissant la situation financière de la famille, Hilaire de Fenoil du Lac s’était montré grand seigneur, insistant pour prendre toutes les dépenses à sa charge. Pour garder la tête haute, le comte avait donné en dot à sa fille le château familial de Joui. Cette superbe bâtisse médiévale avait été la fierté de toute une région. Son austère rudesse posée au milieu d’un étang conférait à ce château un calme qui invitait à la méditation. Il était temps de s’en occuper car tout l’édifice menaçait de s’effondrer ! Quand Hermine avait évoqué tous les bons moments de son enfance passés en ce lieu, Hilaire avait décrété qu’il allait lui redonner son faste d’antan et que leur mariage y serait ensuite célébré.
Tous les corps de métier avaient été sollicités pour refaire la toiture, reconstruire les douves, réorganiser les jardins et nettoyer la forêt voisine. Neuf mois plus tard, la bibliothèque, ancienne salle des gardes, avait accueilli les trois cents invités triés sur le volet. Son magnifique plafond, construit en bois de châtaignier, avait impressionné l’assistance. Il représentait une carène de bateau renversée. On se serait encore cru à l’église du village où Hilaire et Hermine avaient échangé leurs alliances.
A l’issue de la fête, le duc et la nouvelle duchesse s’étaient retirés dans leurs appartements. Dans le fond de leur chambre nuptiale, un feu de cheminée crépitait doucement en distillant une odeur de terroir. A la lueur vacillante des chandeliers, Hilaire de Fenoil du Lac avait entrepris de dévêtir sa jeune épouse. Déboutonnant avec une lenteur consommée les vingt et un boutons de son corset, il découvrit ses seins. La chair de poule qui parcourait leur surface alliée à la rigidité des pointes dressées vers le ciel le plongea dans une grande béatitude.

Des jumeaux naîtront quelques années plus tard en Suisse: un fils nommé Charles et une fille nommée Sibille. Quel redoutable secret entourera leur naissance ?

2032 – Alex fête ses trente-trois ans

Rappelez-vous : Alex est l’un des membres de l’équipe de la Quête des Portes (second roman de la trilogie). Retrouvé abandonné à l’âge de trois ans dans une église de Bretagne et placé dans des familles d’accueil tout au long de son enfance, il part à la recherche de son passé dès sa majorité. Le pédiatre qui l’a examiné lorsqu’il a été recueilli va l’aider à trouver des indices au sein même de son corps. Alex va tomber amoureux de sa fille et va réussir à la guérir d’une maladie dégénérative qui, pourtant, n’a pas de remèdes connus. Ils décident alors d’annoncer leur mariage.

Comme à chaque anniversaire, la famille ou plutôt les familles se réunissaient. Cela se faisait à tour de rôle chez les uns ou chez les autres. Cette année, c’est Marie Tregoët, sa deuxième maman, qui recevait dans la ferme de ses cousins. Après que tout le monde se soit embrassé, ait donné de ses nouvelles et relaté les faits marquants qui avaient émaillé leur quotidien depuis le dernier anniversaire, Alex prenait traditionnellement la parole.
Il commençait toujours par cette formule peu banale :
– Mes chères mamans, mes chers papas.
Puis il avait poursuivi :
Comme chaque année, nous voilà aujourd’hui réunis pour souffler une nouvelle bougie. Et l’émotion qui m’étreint est toujours aussi forte. Plus les années passent et plus je mesure la chance que j’ai eu de vous avoir à mes côtés pour m’aider à grandir dans votre amour. Et cet amour dont vous avez si bien su m’entourer, j’ai ressenti le besoin de le partager avec Ombeline. Dès la première seconde où je l’ai vue, j’ai su qu’elle était la femme de ma vie.
Et jamais je n’ai imaginé que sa maladie pourrait un jour mettre fin à cette évidence : elle deviendrait ma femme et porterait mes enfants. Nous nous sommes fiancés voilà bientôt deux ans et je lui ai promis de la demander en mariage le jour où elle serait guérie.
Comme vous avez pu le constater, Ombeline va beaucoup mieux. Notre récent pèlerinage à Lourdes semble lui avoir fait beaucoup de bien. Il est encore trop tôt pour parler de miracle mais nous avons de bonnes raisons d’espérer qu’elle guérira un jour. Comme je suis personnellement persuadé qu’elle va se remettre, je voudrais dès à présent demander à son père de m’accorder sa main. Si Ombeline veut bien d’un jeune homme qui n’a pas de passé, nous pourrions célébrer ce mariage dans un an jour pour jour.
Jean-Louis et Judith avaient aidé Ombeline à se lever. Elle avait fait quelques pas toute seule avant de tomber dans les bras d’Alex. Il l’avait serrée contre lui et ils s’étaient embrassés sous les regards attendris de la famille et des invités.
Parmi ceux-ci, il y en avait un qui se posait quelques questions : c’était le grand-père d’Ombeline.

Mais quel lourd secret peut bien lier Alex Samir, Hermine, Charles et Sibille ?

C’est en Egypte, au Soudan et en Ethiopie que l’énigme trouve sa véritable origine. Et il faut remonter au temps d’Hatshepsout pour en comprendre toutes les subtilités.

Patricia Di Pasquale est née en 1954 au Maroc. La peinture et l’aquarelle font partie de son univers depuis plusieurs années comme … un souffle universel ! Passionnée de voyages et de découvertes, elle vit de sa peinture depuis plus de vingt ans entre Saint-Tropez et l’Inde. Elle expose en France et à l’étranger.

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