Jean-Paul Beyssac, désormais dentiste retraité, a toujours aimé lire des fictions avec lesquelles il s’instruisait sur des sujets divers et variés. Un jour, il s’est demandé s’il serait capable de concevoir une histoire qui mêle la connaissance d’un pays et son régime de gouvernement, des rencontres amoureuses, des faits de société, des connaissances scientifiques et médicales. Dans ses trois premiers romans, il évoque l’Afrique du Sud et l’Apartheid, l’Égypte du temps des pharaons, le thème de la vie et de la mort, de l’Au-delà et de l’Après-monde, comment connaitre son histoire et retrouver ses parents biologiques quand on a été retrouvé à 3 ans, abandonné dans une église de Bretagne. Dans le quatrième roman, ce sont les origines de la jalousie et les troubles liés à la tétraplégie qu’il a souhaité aborder et il a situé l’histoire pour partie en Corée du Nord, un pays mal connu qui défraye régulièrement la chronique. Qu’est-ce qui pourrait inciter Kim-Jong-un à ne plus défier la planète avec sa course aux armements ? Beaucoup de thèmes développés sont véridiques, s’y mêlent un peu de fiction et de science-fiction. Le tout devant être plausible. Bien évidemment, les événements et les protagonistes de ces aventures sont replacés dans le contexte d’un roman ; ils n’existent qu’en tant que fiction. Toute ressemblance avec des personnages ayant existé, existant ou des situations ayant eu lieu, ne serait donc que pure coïncidence.